L'Université Populaire de la Musique
Actualité
Mise à jour le 07/06/2021
Attention, cet article n'a pas été mis à jour depuis le 07/06/2021, il est possible que son contenu soit obsolète.
Sommaire
Pour cette 6e édition de l'Université Populaire de la Musique le jazz est à l'honneur ! Rendez-vous du 2 au 16 mars !
Cette nouvelle édition de l'Université Populaire de la Musique se réinvente pour s'adapter aux conditions sanitaires actuelles en vous proposant des rendez-vous en ligne ! Podcast et vidéo seront mis en ligne du 2 au 16 mars sur cette page, accompagnés de multiples supports pour plonger au cœur de la thématique du jazz avec les artistes.
La programmation :
L'arrivée du jazz à Montmartre
Podcast - 50 minutes
Quand il arrive en France, pendant les années folles, le jazz s'installe à Montmartre et à Pigalle, qui deviennent des lieux emblématiques de cette musique venue des Etats-Unis.
Avec Laurent Cugny, pianiste, historien du jazz et Martin Guerpin, saxophoniste et historien.
Autour de la séance
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Le Jazz à Montmartre dans les textes171 ko
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Jazz à Paris - Rag-Time de Phillippe Soupault | #annexe 1 podcast.ausha.co
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Jazz à Paris - Jazz band… partout | #annexe 2 podcast.ausha.co
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Jazz à Paris - Satan à Paris de Jean Genbach | #annexe 3 podcast.ausha.co
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Jazz à Paris - Aurélien de Louis Aragon podcast.ausha.co
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Jazz à Paris - Les clubs de jazz à Paris | #annexe 5 podcast.ausha.co
Les intervenants
Laurent Cugny est professeur à la Faculté des Lettres de Sorbonne université, spécialiste de jazz. Il est notamment l’auteur de Las Vegas Tango – Une vie de Gil Evans (1989), Électrique – Miles Davis 1968-1975 (1993), Analyser le jazz (2009), Une Histoire du jazz en France – Vol. 1, du milieu du XIXe siècle à 1929 (2014), Hugues Panassié¬ – L’œuvre panassiéenne et sa réception (2017). Comme musicien, il a joué et enregistré avec Gil Evans (1987), été directeur musical de l’Orchestre National de Jazz (1994 1997), et dirige Gil Evans Paris Workshop (depuis 2014).
Il est également l’auteur de l’opéra-jazz La Tectonique des nuages.
Ancien élève de l’École Normale Supérieure de la rue d’Ulm et du CNSM de Paris, Martin Guerpin est Maître de conférences en musicologie à l’Université Paris-Saclay dont il a été nommé « Chargé de mission arts et culture » en 2019. Ses travaux portent sur les relations entre musiques savantes et populaires, et sur les relations entre musique et identités aux XIXe, XXe et XXIe siècles. Sa thèse de doctorat, intitulée « Enjeux esthétiques et culturels des appropriations du jazz dans le monde musical savant parisien (1900-1939) » est en cours de publication aux éditions Vrin. Il prépare également une anthologie des textes francophones sur le jazz dans les années 1920 et un ouvrage collectif sur la vie musicale dans les casinos français aux Editions Actes Sud Palazzetto Bru Zane. Ses recherches ont été récompensées par plusieurs prix (Fondation Socan Proctor au Canada, bourse Marie Curie de l’Union Européenne), pour des travaux publiés dans la Revue de Musicologie, la Revue musicale OICRM, les Cahiers de la SQRM, les Cahier du jazz, la revue L’Histoire, et dans de nombreux ouvrages collectifs. Il coordonne actuellement le projet de recherche international « Musique et Nation », qui explore des thématiques telles que le rôle de la musique dans les périodes de sorties de guerres, ou le rôle des arts dans les processus d’américanisation de l’Europe avant 1945. Critique pour la revue Jazz Magazine, Martin Guerpin est également saxophoniste. Il fait partie du quartet Vaïbz et du Gil Evans Paris Workshop, avec lequel il a remporté le prix « Jazz Magazine du meilleur concert français en 2014 » et un « Choc » Jazz Magazine/Jazzman pour l’album Spoonful (2017). Il est actuellement musicien en résidence au Centre des Musiques Traditionnelles d’Île de France, dans un projet mettant en dialogue musiciens de jazz et musiciens kabyles spécialisés dans le Châabi algérien.
Les références
- Stumbling
- Saint Louis Blues
- Chopinata
- Hindoustan
- Saint Louis Blues
- Chopinata
- Hindoustan
Jazz et cinéma
Podcast - 50 minutes
Le jazz et le cinéma sont deux inventions majeures du 20e siècle qui commencent leurs carrières entrelacées.
Avec Yvan Amar, producteur radio et Mario Canonge, pianiste
Autour de cette séance
Les intervenants
Après des études de piano, de philosophie et de lettres, Yvan Amar enseigne les lettres pendant une quinzaine d'années, mais très vite il se tourne vers la radio. France Culture d'abord, où il organise des concerts (Transcontinentales, de 1988 à 2000), où il produit des émissions musicales thématiques, essentiellement sur le jazz, (Euphonia, le Rythme et la Raison, Opus…), mais pas uniquement (Un poco agitato, magazine quotidien de 2002 à 2008, s'intéressant à toutes les musiques). Puis à France Musique où il présente le Jazz-club toutes les semaines. Parallèlement, il travaille à RFI depuis 1986, et s'occupe de langue française et de culture francophone.
Mario Canong est un pianiste martiniquais. Il commence à jouer à l'adolescence et accompagne la chorale de l'église du François en Martinique.
A partir de 1979, il étudie la musique à Paris et joue beaucoup de musique latine au début des années 80, notamment dans le groupe La Manigua avant d'être, avec Nguyen Lê le cofondateur du groupe de jazz-rock-fusion Ultramarine. Très inspiré par les deux grands noms antillais du piano, Marius Cultier et Alain Jean-Marie, c'est un pianiste reconnu et virtuose, et il devient vite très demandé : Lavelle, Dee Dee Bridgewater, Nicole Croisille, Ralph Thamar, mais aussi Carter Jefferson, Chico Freeman, Turk Mauro, Simon Spang-Hanssen… Il crée Sakiyo avec Michel Alibo, puis débute une carrière en solo avec "Retour aux sources" en 1991. C'est un tournant qui le voit renouer avec la musique de ses racines. Mario joue beaucoup et touche un large public aux Antilles et en métropole. Pendant plusieurs années, le quartet tourne même au-delà des frontières, et les collaborations de Mario continuent (Kassav, Malavoi…) ainsi que d'innombrables séances de studio pour la musique des Caraïbes et dans tous les styles (Beethova Obas, Michel Jonasz, Laurent Voulzy…). En 2002, Mario monte Sakésho, avec Andy Narell, Michel Alibo et Jean-Philippe Fanfant. Deux disques sont produits plus un DVD qui entrainent le quartet dans de nombreux festivals. Côté Afrique, Mario joue beaucoup avec son vieux complice Etienne Mbappé mais aussi avec Manu Dibango, Richard Bona, Gino Sitson, etc. En 2004, nouveau virage, cette fois-ci très jazz - tout en restant caribéen - avec Rhizome. Le trio enchaine les tournées sur les cinq continents et d'autres collaborations naissent, par exemple avec Michel Zénino, ou Alain Jean-Marie. Mario accompagne aussi la chanteuse Tangora ou encore Viviane Ginapé. En 2011, Mario Canonge publie mitan, un album jazz salué par la critique, et qu'il décrit ainsi : « mitan, c'est aussi le mitan de ma vie. En réalité, c'est pour moi le commencement d'un à venir plus riche, d'une envie d'avancer, de progresser, de m'élever encore et encore, essayant d'effleurer, de toucher, de saisir de mes dix doigts un vital essentiel ». Dans le courant de l’été, Mario et Michel Zenino se produisent dans le cadre du festival Jazz à Porquerolles. Le concert est filmé et donne lieu à un DVD qui sort début 2013. Vers la fin de l’année, Mario joue sur l’album du guitariste dominiquais Cameron Pierre, « Radio Jumbo ». C’est l’occasion de rencontrer Courtney Pine qui produit l’album. Ce dernier l’appelle alors pour jouer sur son album « House of legends » qui sort à la fin de l’année 2012. C’est également à cette période que nait un trio prometteur baptisé CAB, et formé avec le chanteur camerounais Blick Bassy et le percussionniste brésilien Adriano Tenorio DD. Le groupe tourne régulièrement et prépare un album à paraître en 2014.
A partir de 1979, il étudie la musique à Paris et joue beaucoup de musique latine au début des années 80, notamment dans le groupe La Manigua avant d'être, avec Nguyen Lê le cofondateur du groupe de jazz-rock-fusion Ultramarine. Très inspiré par les deux grands noms antillais du piano, Marius Cultier et Alain Jean-Marie, c'est un pianiste reconnu et virtuose, et il devient vite très demandé : Lavelle, Dee Dee Bridgewater, Nicole Croisille, Ralph Thamar, mais aussi Carter Jefferson, Chico Freeman, Turk Mauro, Simon Spang-Hanssen… Il crée Sakiyo avec Michel Alibo, puis débute une carrière en solo avec "Retour aux sources" en 1991. C'est un tournant qui le voit renouer avec la musique de ses racines. Mario joue beaucoup et touche un large public aux Antilles et en métropole. Pendant plusieurs années, le quartet tourne même au-delà des frontières, et les collaborations de Mario continuent (Kassav, Malavoi…) ainsi que d'innombrables séances de studio pour la musique des Caraïbes et dans tous les styles (Beethova Obas, Michel Jonasz, Laurent Voulzy…). En 2002, Mario monte Sakésho, avec Andy Narell, Michel Alibo et Jean-Philippe Fanfant. Deux disques sont produits plus un DVD qui entrainent le quartet dans de nombreux festivals. Côté Afrique, Mario joue beaucoup avec son vieux complice Etienne Mbappé mais aussi avec Manu Dibango, Richard Bona, Gino Sitson, etc. En 2004, nouveau virage, cette fois-ci très jazz - tout en restant caribéen - avec Rhizome. Le trio enchaine les tournées sur les cinq continents et d'autres collaborations naissent, par exemple avec Michel Zénino, ou Alain Jean-Marie. Mario accompagne aussi la chanteuse Tangora ou encore Viviane Ginapé. En 2011, Mario Canonge publie mitan, un album jazz salué par la critique, et qu'il décrit ainsi : « mitan, c'est aussi le mitan de ma vie. En réalité, c'est pour moi le commencement d'un à venir plus riche, d'une envie d'avancer, de progresser, de m'élever encore et encore, essayant d'effleurer, de toucher, de saisir de mes dix doigts un vital essentiel ». Dans le courant de l’été, Mario et Michel Zenino se produisent dans le cadre du festival Jazz à Porquerolles. Le concert est filmé et donne lieu à un DVD qui sort début 2013. Vers la fin de l’année, Mario joue sur l’album du guitariste dominiquais Cameron Pierre, « Radio Jumbo ». C’est l’occasion de rencontrer Courtney Pine qui produit l’album. Ce dernier l’appelle alors pour jouer sur son album « House of legends » qui sort à la fin de l’année 2012. C’est également à cette période que nait un trio prometteur baptisé CAB, et formé avec le chanteur camerounais Blick Bassy et le percussionniste brésilien Adriano Tenorio DD. Le groupe tourne régulièrement et prépare un album à paraître en 2014.
Références
Musiques jouées par Mario Canonge au piano :
- Someday my prince will come (Franck Churchill) / composée pour Blanche Neige et le Sept nains - Walt Disney 1937
- Stella by Starlight (Victor Young) / composée pour La falaise mystérieuse - Lewis Allen 1944
- Smile (Charlie Chaplin) / composé pour Les Temps Modernes - Charlie Chaplin 1936
- As time goes by (Herman Hupfeld) / popularisée par Casablanca - Michael Curtiz 1942
- Maria (Leonard Bernestein) / composée pour West Side Story - Robert Wise 1961
- Blue Monk (Theloniuous Monk) / jouée dans Straight no chaser - Charlotte Zwerin 1988
Musiques diffusées :
- Laura (David Raskin) Charlie Parker with springs 1950 / composée pour Laura - Otto Preminger 1944
- La chanson de Maxence (Michel Legrand) Composé pour les Demoiselles de Rochefort - 1967 Chantée par Jacques Revaud
- You must believe in spring – Titre anglais de la Chanson de Maxence (Michel Legrand) - Bill Evans You must believe in spring 1981
- Jumpin’Jive (Cab Calloway) Chanté par Cab Calloway et son orchestre + les Nicholas Brothers (tap dance) Stormy Weather - Andrew Stone 1943
- As time goes by (Herman Hupfeld) Chanté par Dooley Wilson Casablanca - Michael Curtiz 1942
- Autopsie d’un meurtre – Générique (Duke Ellington) Composé pour Anatomy of a murder Otto Preminger 1959
- Ascenseur pour l’échafaud - Générique (Miles Davis) Composé pour Ascenseur pour l’échafaud Louis Malle 1958
- Blues (Charlie Parker) Réenregistré en gardant le son original de Parker pour Bird Clint Eastwood 1988
- Someday my prince will come (Franck Churchill) / composée pour Blanche Neige et le Sept nains - Walt Disney 1937
- Stella by Starlight (Victor Young) / composée pour La falaise mystérieuse - Lewis Allen 1944
- Smile (Charlie Chaplin) / composé pour Les Temps Modernes - Charlie Chaplin 1936
- As time goes by (Herman Hupfeld) / popularisée par Casablanca - Michael Curtiz 1942
- Maria (Leonard Bernestein) / composée pour West Side Story - Robert Wise 1961
- Blue Monk (Theloniuous Monk) / jouée dans Straight no chaser - Charlotte Zwerin 1988
Musiques diffusées :
- Laura (David Raskin) Charlie Parker with springs 1950 / composée pour Laura - Otto Preminger 1944
- La chanson de Maxence (Michel Legrand) Composé pour les Demoiselles de Rochefort - 1967 Chantée par Jacques Revaud
- You must believe in spring – Titre anglais de la Chanson de Maxence (Michel Legrand) - Bill Evans You must believe in spring 1981
- Jumpin’Jive (Cab Calloway) Chanté par Cab Calloway et son orchestre + les Nicholas Brothers (tap dance) Stormy Weather - Andrew Stone 1943
- As time goes by (Herman Hupfeld) Chanté par Dooley Wilson Casablanca - Michael Curtiz 1942
- Autopsie d’un meurtre – Générique (Duke Ellington) Composé pour Anatomy of a murder Otto Preminger 1959
- Ascenseur pour l’échafaud - Générique (Miles Davis) Composé pour Ascenseur pour l’échafaud Louis Malle 1958
- Blues (Charlie Parker) Réenregistré en gardant le son original de Parker pour Bird Clint Eastwood 1988
Ascenseur pour l'échafaud
Autopsie d'une meurtre
Le chanteur de jazz
Stormy weather
Shadows
Spartakus
Des femmes disparaissent…
Autopsie d'une meurtre
Le chanteur de jazz
Stormy weather
Shadows
Spartakus
Des femmes disparaissent…
Bas les masques
Vidéo - 20 minutes // Jeune public
Vidéo Vimeo
Fantaisie chantée pour supporter la vie actuelle ! Une chanteuse et un chanteur masqué.e.s nous racontent des histoire qui nous parlent de mots, d'animaux et de maux que la voix guérit !
Avec Mélanie Flahaut, chanteuse et Arnaud Marzorati, chanteur
Les femmes et le jazz
Podcast - 50 minutes
Quelle place occupent les femmes dans le jazz ? Voix sublimes, personnalités complexes, parcours chaotiques, chemins triomphants, …
Avec Clotilde Rullaud, chanteuse, conférencière et Alexandre Saada, pianiste
Autour de la séance
Les intervenants
Clotilde Rullaud, créatrice au large spectre, parisienne nomade, pose régulièrement ses valises à New-York, Genève ou Bobo-Dioulasso pour créer, se produire ou transmettre. Animée d'une double foi humaniste et poétique, elle aspire à créer des œuvres singulières à portée universelle en utilisant tout support d'expression, et particulièrement sa voix de chanteuse, pour élever sa voix de citoyenne du monde et entrer en résonance avec le public.
Dès son enfance, Clotilde est initiée aux arts vivants via la musique, le théâtre et la danse. Après un parcours au conservatoire en flûte traversière, fascinée par la richesse de l’instrument voix et mue par un puissant désir d’expérimentation, elle décide d’explorer les chemins osseux de la voix et les techniques vocales étendues.
Son identité se développe au travers de voyages et de rencontres artistiques et humaines (Balkans, Irlande, Liban, Russie, USA). De ses carnets de voyage, naissent d’abord en 2002, puis en 2003, deux spectacles tout public, pluridisciplinaires, et dans lesquels Clotilde chante, conte et danse : Sur la route des Tziganes et Monsieur Jazz.
Vocaliste, flûtiste et compositrice d’inspirations multiples, passionnée par la puissance créatrice du souffle et la dimension vibratoire du son, elle a sorti trois albums plébiscités par la presse internationale. Son second album In Extremis (2008) est classé dans le Top 5 des albums de l’année 2011 par The Sunday Times (UK) et de l’année 2013 par les NPR (Radio Publique Nationale Américaine) Annual Jazz Critics Poll.
Son dernier album avec le duo Madeleine & Salomon, A woman’s journey (2016) reçoit 16 prix dont 6 en tant que meilleur album en France et aux USA. Elle renoue ici avec l’interdisciplinarité, le répertoire s’enrichissant sur scène de projections de films oniriques.
Depuis 2 ans, elle développe une collaboration fructueuse avec le pianiste claviériste new-yorkais Chris McCarthy qui a débouchée sur la création de Pieces of a Song, répertoire de compositions originales entre rage et extase, sur des textes de la poétesse de la Beat Generation Diane di Prima. La création de ce répertoire a reçu le soutien du French American Jazz Exchange, programme de la FACE Foundation et des services culturels de l'ambassade française aux Etats-Unis.
Depuis 10 ans, sa carrière internationale la conduit à se produire sur les scènes des salles et des festivals d’Afrique, d’Australie, d’Asie, des Etats-Unis et d’Europe, avec un répertoire entre jazz, musiques improvisées et influences musicales récoltées au gré de ses multiples voyages et rencontres avec d'autres cultures.
Productrice, réalisatrice de courts métrages de création plusieurs fois primés et auteure de spectacles pluridisciplinaires au service de son regard sur le monde, Clotilde cultive les synchronicités hasardeuses, se joue des cloisonnements et fait se rencontrer avec brio les différentes disciplines artistiques. En 2018 elle présente un moyen-métrage de création non-narratif XXY [ɛks/ɛks/wʌɪ], œuvre ouverte et poétique où se déploie la plénitude de son éventail artistique. Il a fait l'objet de sélections dans plus de 30 festivals à travers le monde et a reçu 5 prix et nominations. Dans la continuité de ce film, elle approfondit sa réflexion sur le Féminin au delà du Genre, avec une pièce chorégraphique, musicale et visuelle pour dix interprètes, dont la première aura lieu le 7 Mai 2021 au Théâtre de Vanves.
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Dès son enfance, Clotilde est initiée aux arts vivants via la musique, le théâtre et la danse. Après un parcours au conservatoire en flûte traversière, fascinée par la richesse de l’instrument voix et mue par un puissant désir d’expérimentation, elle décide d’explorer les chemins osseux de la voix et les techniques vocales étendues.
Son identité se développe au travers de voyages et de rencontres artistiques et humaines (Balkans, Irlande, Liban, Russie, USA). De ses carnets de voyage, naissent d’abord en 2002, puis en 2003, deux spectacles tout public, pluridisciplinaires, et dans lesquels Clotilde chante, conte et danse : Sur la route des Tziganes et Monsieur Jazz.
Vocaliste, flûtiste et compositrice d’inspirations multiples, passionnée par la puissance créatrice du souffle et la dimension vibratoire du son, elle a sorti trois albums plébiscités par la presse internationale. Son second album In Extremis (2008) est classé dans le Top 5 des albums de l’année 2011 par The Sunday Times (UK) et de l’année 2013 par les NPR (Radio Publique Nationale Américaine) Annual Jazz Critics Poll.
Son dernier album avec le duo Madeleine & Salomon, A woman’s journey (2016) reçoit 16 prix dont 6 en tant que meilleur album en France et aux USA. Elle renoue ici avec l’interdisciplinarité, le répertoire s’enrichissant sur scène de projections de films oniriques.
Depuis 2 ans, elle développe une collaboration fructueuse avec le pianiste claviériste new-yorkais Chris McCarthy qui a débouchée sur la création de Pieces of a Song, répertoire de compositions originales entre rage et extase, sur des textes de la poétesse de la Beat Generation Diane di Prima. La création de ce répertoire a reçu le soutien du French American Jazz Exchange, programme de la FACE Foundation et des services culturels de l'ambassade française aux Etats-Unis.
Depuis 10 ans, sa carrière internationale la conduit à se produire sur les scènes des salles et des festivals d’Afrique, d’Australie, d’Asie, des Etats-Unis et d’Europe, avec un répertoire entre jazz, musiques improvisées et influences musicales récoltées au gré de ses multiples voyages et rencontres avec d'autres cultures.
Productrice, réalisatrice de courts métrages de création plusieurs fois primés et auteure de spectacles pluridisciplinaires au service de son regard sur le monde, Clotilde cultive les synchronicités hasardeuses, se joue des cloisonnements et fait se rencontrer avec brio les différentes disciplines artistiques. En 2018 elle présente un moyen-métrage de création non-narratif XXY [ɛks/ɛks/wʌɪ], œuvre ouverte et poétique où se déploie la plénitude de son éventail artistique. Il a fait l'objet de sélections dans plus de 30 festivals à travers le monde et a reçu 5 prix et nominations. Dans la continuité de ce film, elle approfondit sa réflexion sur le Féminin au delà du Genre, avec une pièce chorégraphique, musicale et visuelle pour dix interprètes, dont la première aura lieu le 7 Mai 2021 au Théâtre de Vanves.
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Improvisateur de jazz, compositeur de musiques de film ou bien tout simplement auteur de chansons, Alexandre Saada nous entraîne là où ses doigts de musicien synesthète le guident. De ce bug neurologique transformant les accords de musique en textures sonores comme les jours de la semaine lui apparaissent comme autant de couleurs (bleu pour le lundi ; orange pour le mardi, etc.), ce pianiste français issu d’une famille de déracinés — le père ayant quitté la Tunisie à l’adolescence et la mère partie en pleine guerre d’Algérie — a fait de son instrument un objet apatride.
Au lendemain des attentats du Bataclan (13 novembre 2015), il réunit une trentaine de musiciens venus tout aussi bien du Japon que d’Arménie ou du Malawi pour une nuit d’improvisation au studio Ferber, à Paris : cinq heures de musique sans partition, ni consigne ou leader, dont résultera une heure dix de musique éditée. S’il est également capable de poser des notes sur des images comme pour le long-métrage Corporate de Nicolas Silhol avec Céline Salette et Lambert Wilson (2017), il est tout aussi appréciable dans ses face-à-face pianistiques avec Philippe Baden-Powell, le fils de la légende brésilienne, ou bien au côté de Martha Reeves, chanteuse du groupe Martha and the Vandellas (Dancing in the Streets, 1965, reprise vingt ans plus tard par Mick Jagger et David Bowie), également connue pour son travail avec Marvin Gaye.
Sa musique portraitise, c’est un exercice qu’il se plaît à faire depuis la scène : « Une personne dans le public se porte volontaire et j’effectue son portrait d’après ce qu’elle m’inspire, ce que je ressens d’elle. “Je me suis trouvée très belle”, c’est le meilleur compliment que m’ait fait une petite fille. »
Toujours à la rencontre de l’autre, Alexandre Saada s’est lancé au printemps dernier dans une nouvelle aventure : We Free, comme une même onde vouée à se diffuser sur plusieurs continents, est un projet proposant à des individus touchés par un conflit de renouer avec leur identité grâce à la musique. En compagnie du photographe Bertrand Perrin et du vidéaste Alexis Balcon, le musicien s’est ainsi rendu dans une série d’endroits ayant connu une guerre civile, un conflit militaire, une crise économique ou bien un génocide (Detroit (USA), Zelenkovac (Bosnie), Brazzaville (République démocratique du Cogo), Tel-Aviv (Israël)). En plus de ces interventions, des sessions impromptues ont été organisées dans des villages Bakas (Pygmées), dans le désert de Mitzpe Ramon (Israël), dans les ruines de Detroit, à Belgrade (Serbie)… « J’ai grandi avec des légendes familiales de terres perdues, de maisons abandonnées précipitamment. La musique est ce qui m’a permis de trouver ma place en essayant de faire cohabiter le quotidien normal d’une famille française avec la réalité de l’exil », relate Alexandre Saada.
À l’âge de 4 ans, ce fils de commerçants venu d’Avignon s’est hissé pour la première fois sur un siège de piano. Onze ans plus tard, ce jazzman né aux premières lueurs du punk (1977) effectuait, lesté d’une solide culture musicale classique et jazz, dans le… rock. Un groupe de reprise des Doors lui offre ses premières sensations en live. Il commence à écrire des chansons en assemblant au hasard des vers du poète Jim Morrison.
Des milliers de gigs et enregistrements de jazz plus tard, le musicien désormais installé à Paris décide de regrouper les objets qu’il fabrique à l’inverse de ses plages improvisées : des chansons. Sa rencontre avec la chanteuse et auteure Mélissa Bon (ex-The Voice) le fait accoucher des douze chansons qui constitueront son premier album de chanteur. De juin 2018 à juin 2019 au studio Mélodium (Montreuil), accompagné d’un combo guitare - basse - batterie, le flying man (claviers, clavecins) effectue un vol piqué à l’intérieur de ses quêtes identitaires sous la forme la plus pop folk qui se puisse.
Et puisqu’il est français, il était tout naturel qu’il chantât en anglais, avec le charme de Maurice Chevalier et la mélancolie de Jay-Jay Johnsson, le velours arpégé de José Gonzales (The Clock) ou bien de Sufjan Stevens (The World is not for us) relevé d’une scie French pop (My Land is your Soul). On pourra y entendre du baroque, de la pop, du Leonard Cohen, du Lhasa et même du Tom Waits, en guise de finale, All the World is Green. Du temps où le monde était vert. C’était quel jour déjà, Alexandre Saada ?
Au lendemain des attentats du Bataclan (13 novembre 2015), il réunit une trentaine de musiciens venus tout aussi bien du Japon que d’Arménie ou du Malawi pour une nuit d’improvisation au studio Ferber, à Paris : cinq heures de musique sans partition, ni consigne ou leader, dont résultera une heure dix de musique éditée. S’il est également capable de poser des notes sur des images comme pour le long-métrage Corporate de Nicolas Silhol avec Céline Salette et Lambert Wilson (2017), il est tout aussi appréciable dans ses face-à-face pianistiques avec Philippe Baden-Powell, le fils de la légende brésilienne, ou bien au côté de Martha Reeves, chanteuse du groupe Martha and the Vandellas (Dancing in the Streets, 1965, reprise vingt ans plus tard par Mick Jagger et David Bowie), également connue pour son travail avec Marvin Gaye.
Sa musique portraitise, c’est un exercice qu’il se plaît à faire depuis la scène : « Une personne dans le public se porte volontaire et j’effectue son portrait d’après ce qu’elle m’inspire, ce que je ressens d’elle. “Je me suis trouvée très belle”, c’est le meilleur compliment que m’ait fait une petite fille. »
Toujours à la rencontre de l’autre, Alexandre Saada s’est lancé au printemps dernier dans une nouvelle aventure : We Free, comme une même onde vouée à se diffuser sur plusieurs continents, est un projet proposant à des individus touchés par un conflit de renouer avec leur identité grâce à la musique. En compagnie du photographe Bertrand Perrin et du vidéaste Alexis Balcon, le musicien s’est ainsi rendu dans une série d’endroits ayant connu une guerre civile, un conflit militaire, une crise économique ou bien un génocide (Detroit (USA), Zelenkovac (Bosnie), Brazzaville (République démocratique du Cogo), Tel-Aviv (Israël)). En plus de ces interventions, des sessions impromptues ont été organisées dans des villages Bakas (Pygmées), dans le désert de Mitzpe Ramon (Israël), dans les ruines de Detroit, à Belgrade (Serbie)… « J’ai grandi avec des légendes familiales de terres perdues, de maisons abandonnées précipitamment. La musique est ce qui m’a permis de trouver ma place en essayant de faire cohabiter le quotidien normal d’une famille française avec la réalité de l’exil », relate Alexandre Saada.
À l’âge de 4 ans, ce fils de commerçants venu d’Avignon s’est hissé pour la première fois sur un siège de piano. Onze ans plus tard, ce jazzman né aux premières lueurs du punk (1977) effectuait, lesté d’une solide culture musicale classique et jazz, dans le… rock. Un groupe de reprise des Doors lui offre ses premières sensations en live. Il commence à écrire des chansons en assemblant au hasard des vers du poète Jim Morrison.
Des milliers de gigs et enregistrements de jazz plus tard, le musicien désormais installé à Paris décide de regrouper les objets qu’il fabrique à l’inverse de ses plages improvisées : des chansons. Sa rencontre avec la chanteuse et auteure Mélissa Bon (ex-The Voice) le fait accoucher des douze chansons qui constitueront son premier album de chanteur. De juin 2018 à juin 2019 au studio Mélodium (Montreuil), accompagné d’un combo guitare - basse - batterie, le flying man (claviers, clavecins) effectue un vol piqué à l’intérieur de ses quêtes identitaires sous la forme la plus pop folk qui se puisse.
Et puisqu’il est français, il était tout naturel qu’il chantât en anglais, avec le charme de Maurice Chevalier et la mélancolie de Jay-Jay Johnsson, le velours arpégé de José Gonzales (The Clock) ou bien de Sufjan Stevens (The World is not for us) relevé d’une scie French pop (My Land is your Soul). On pourra y entendre du baroque, de la pop, du Leonard Cohen, du Lhasa et même du Tom Waits, en guise de finale, All the World is Green. Du temps où le monde était vert. C’était quel jour déjà, Alexandre Saada ?
Quand la danse se joue du jazz !
Podcast - 30 minutes
Découvrons ensemble, à travers l'histoire et l'écoute d'extraits musicaux, en quoi l'imaginaire du jazz ouvre de nouveaux espaces de danse.
Avec Claude Sorin, conférencière et historienne de la danse
Une
conférence en 3 parties afin de découvrir en quoi l’imaginaire du jazz ouvre de
nouveaux espaces de danse.
-
Quand danses et musiques Jazz s’inventent ensemble
-
Danses jazz on stage
-
Quand les musiques jazz inspirent les chorégraphes
Autour de la séance
"Mon
souhait est de saisir l'esprit du jazz : interaction, fluidité, spontanéité" dit
la chorégraphe américaine Trisha Brown lorsqu’elle crée une trilogie sur des
musiques jazz en 2000. Cet esprit du jazz qui se développe entre improvisations
et compositions. Danses et musique jazz liées au départ en une même histoire,
un même élan, se développent ensemble dans les danses de bal avec le Lindy Hop, le
charleston, les claquettes … et sur
les scènes populaires du minstrel show, des revues, de la comédie musicale.
Les
artistes jazz souhaitent l’élargir en musiques et danses de concert tels Alvin
Ailey, Talley Beatty et Donald Mac Kayle. Les chorégraphes classiques et
contemporains s’emparent alors de ses rythmes comme George Balanchine, Carolyn
Carlson, Anne Teresa de Keersmaeker, Trisha Brown et le chorégraphe et
saxophoniste Georges Appaix qui livre ainsi son attirance : Le jazz, c’est la musique transversale par
excellence, la musique métisse qui intègre toutes sortes de matières,
classiques, ethniques, expérimentales, qui recycle et invente sans cesse, à
travers les standards, les improvisations…
Pour aller plus loin
Éliane Seguin, Danses jazz, une poétique de la relation, 2017, Centre National de la Danse
Thomas Moreau, Le jazz et la scène,2019, P.U.V, Université Saint Denis
Thomas Moreau, Le jazz et la scène,2019, P.U.V, Université Saint Denis
Quand danses et musiques jazz s'inventent ensemble
- Cake Walk
- Nicholas Brothers et Cab Calloway dans Stormy Weather, 1943 de Andrew L. Stone
- Savoy Ballroom: The Spirit Moves: a History of Black Social Dance on Film, de Mura Dehn
- Hellzapoppin, 1941, de Henry C. Potter séquence de Lindy Hop
- Fred Astaire et Ginger Rogers, Swing Time
- Wayne Barbaste, Get Highe, 2012
- Du Blues au Swing, du Broadway Jazz au Street Jazz Talons & Oh Lord de Géraldine Armstrong
- Patricia Karagozian, Unfinished Fragments: Butterfly, 2012, Musique originale: Mike Karagozian
Danse jazz on stage
- Minstrel Show, Blackface Minstrel Show Sand Dance
- Ostrich, d’Asadata Dafora, création 1934, film 2009 reconstruction de James Carles
- Alvin Ailey, Revelations, musique Spirituals, création de 1960, en entier
- Jerome Robbins, New York Export Opus jazz, 1958, film 2010, musique Robert Prince
- Jerome Robbins, West Side story, Cool, 1961, musique Leonard Bernstein
Quand les musiques jazz inspirent les chorégraphes
- George Balanchine Who Cares? Création 1970, musique George Gershwin
Film de 1989 avec Baryshnikov et L’American Ballet théâtre
En intégralité de 33min34 à 55min
- Anna Sokolow, Rooms, 1955, extraits, musique Kenyon Hopkins
- Trisha Brown, El Trilogy, musique de Dave Douglas, 2000
- Carolyn Carlson et Michel Portal, Improvisation, 1991
- Mathilde Monnier et Louis Sclavis, Chinoiserie, 1992
- Anne Teresa De Keersmaeker, A love supreme, musique de John Coltrane 2014/ 2017
création 2014
recréation 2017
- Cake Walk
- Nicholas Brothers et Cab Calloway dans Stormy Weather, 1943 de Andrew L. Stone
- Savoy Ballroom: The Spirit Moves: a History of Black Social Dance on Film, de Mura Dehn
- Hellzapoppin, 1941, de Henry C. Potter séquence de Lindy Hop
- Fred Astaire et Ginger Rogers, Swing Time
- Wayne Barbaste, Get Highe, 2012
- Du Blues au Swing, du Broadway Jazz au Street Jazz Talons & Oh Lord de Géraldine Armstrong
- Patricia Karagozian, Unfinished Fragments: Butterfly, 2012, Musique originale: Mike Karagozian
Danse jazz on stage
- Minstrel Show, Blackface Minstrel Show Sand Dance
- Ostrich, d’Asadata Dafora, création 1934, film 2009 reconstruction de James Carles
- Alvin Ailey, Revelations, musique Spirituals, création de 1960, en entier
- Jerome Robbins, New York Export Opus jazz, 1958, film 2010, musique Robert Prince
- Jerome Robbins, West Side story, Cool, 1961, musique Leonard Bernstein
Quand les musiques jazz inspirent les chorégraphes
- George Balanchine Who Cares? Création 1970, musique George Gershwin
Film de 1989 avec Baryshnikov et L’American Ballet théâtre
En intégralité de 33min34 à 55min
- Anna Sokolow, Rooms, 1955, extraits, musique Kenyon Hopkins
- Trisha Brown, El Trilogy, musique de Dave Douglas, 2000
- Carolyn Carlson et Michel Portal, Improvisation, 1991
- Mathilde Monnier et Louis Sclavis, Chinoiserie, 1992
- Anne Teresa De Keersmaeker, A love supreme, musique de John Coltrane 2014/ 2017
création 2014
recréation 2017
L'intervenante
Artiste chorégraphique, chercheuse en danse, professeure en histoire de la danse dans les conservatoires de Paris, de Boulogne et dans le cadre de la formation des professeurs de danse, Claude Sorin conçoit des projets afin de sensibiliser les publics au travail de la danse et des danseurs.
Après vingt années de collaboration au sein de compagnies contemporaines, elle étudie au département Danse de l’Université Paris 8 et développe une recherche sur les archives orales de la danse en concevant des montages d’archives "Les voix de la danse" en partenariat avec l’INA et le Centre National de la Danse.
Après vingt années de collaboration au sein de compagnies contemporaines, elle étudie au département Danse de l’Université Paris 8 et développe une recherche sur les archives orales de la danse en concevant des montages d’archives "Les voix de la danse" en partenariat avec l’INA et le Centre National de la Danse.
Le petit Vian illustré
Podcast - 45 minutes
Déambulation à travers des chansons peu connues, des poèmes mis en musique, des textes féroces, des comptines absurdes dans l'univers de Boris Vian.
Avec Vincent Bouchot, chanteur, Denis Chouillet au piano et Nathalie Duong, chanteuse
Autour des séances
Les intervenants
Jouant de la voix dans tous
ses états, Nathalie Duong mêle avec bonheur les activités de comédienne et de
chanteuse. Au théâtre, elle a incarné : la Marquise de Merteuil des Liaisons
dangereuses, LadyMacbeth, la Marquise des Sincères
de Marivaux, la piquante Nérine dans Monsieur de Pourceaugnac, la
beckettienne Winnie de Oh les beaux jours …
Elle a participé à l’aventure du Théâtre Baroque de France, dirigé par Philippe Beaussant, qui lui offre d’interpréter le flamboyant mélodrame Médée de Benda, au carrefour de la voix parlée et de la voix chantée. Interprète éclectique, du lyrique à la comédie musicale, elle chante et joue au Théâtre du Châtelet dans : Le Chanteur de Mexico, Candide, Véronique, The Fly, Welcome to the voice, Treemonisha, Cyrano de Bergerac.
Elle s’adonne avec plaisir au théâtre musical dans les spectacles Comme de bien entendu, puis Une fille en or (c’est elle …) au sein des Cavatines, compagnie de Natalie Van Parys. Très attachée au répertoire contemporain, elle crée Rodolfo (duo parlé chanté et dansé sur un conte de G. Belli et des textes de F. Ponge), Round the World of Sound, madrigaux de Moondog, avec les ensembles Muzzix et Dedalus.
Ces dernières années elle a interprété en tournée en France et ailleurs deux créations fort différentes : Révolutions vocales (Tempête sous les glottes) avec la Compagnie Vocaliques, fausse conférence qui initie à la vocalité contemporaine, et la Conférence des oiseaux adaptation de Jean-Claude Carrière du texte de Attar, mise en scène par Guy Pierre Couleau (CDN de Colmar/ Cie Des Lumières et des Ombres), où elle joue notamment le Rossignol et La Chauve souris… Elle nourrit une passion pour les musiques actuelles : le rock, le jazz, le blues, la pop et la chanson ; elle écrit, compose, chante et joue de la basse dans son propre groupe, La Chispa.
Elle travaille en équipe depuis plusieurs années avec Vincent Bouchot et Denis Chouillet; les fruits de ce compagnonnage joyeux sont : Méli-mélodrame(s), deux mélodrames contemporains : Spectacle de D. Chouillet sur des textes de F. Villard et J. Prévert et L’enfant de la haute mer de V. Bouchot, sur le texte éponyme de J. Supervielle. La bibliothèque du Professeur Van Mosselen, puis « Francis Poulenc, Mélodies et Correspondance et, Mirages, une rêverie aquatique », « Je m’appelle Erik Satie comme tout le monde » (réalisé grâce à Dominique Boutel, comme "le Petit Vian Illustré").
Par ailleurs, habitant le 18e arrondissement depuis plus de 20 ans, elle a à cœur de participer à la vie associative locale solidaire ( au sein par exemple de l’ Entraide Scolaire Amicale puis la Ligue des Droits de l’Homme…)
Elle a participé à l’aventure du Théâtre Baroque de France, dirigé par Philippe Beaussant, qui lui offre d’interpréter le flamboyant mélodrame Médée de Benda, au carrefour de la voix parlée et de la voix chantée. Interprète éclectique, du lyrique à la comédie musicale, elle chante et joue au Théâtre du Châtelet dans : Le Chanteur de Mexico, Candide, Véronique, The Fly, Welcome to the voice, Treemonisha, Cyrano de Bergerac.
Elle s’adonne avec plaisir au théâtre musical dans les spectacles Comme de bien entendu, puis Une fille en or (c’est elle …) au sein des Cavatines, compagnie de Natalie Van Parys. Très attachée au répertoire contemporain, elle crée Rodolfo (duo parlé chanté et dansé sur un conte de G. Belli et des textes de F. Ponge), Round the World of Sound, madrigaux de Moondog, avec les ensembles Muzzix et Dedalus.
Ces dernières années elle a interprété en tournée en France et ailleurs deux créations fort différentes : Révolutions vocales (Tempête sous les glottes) avec la Compagnie Vocaliques, fausse conférence qui initie à la vocalité contemporaine, et la Conférence des oiseaux adaptation de Jean-Claude Carrière du texte de Attar, mise en scène par Guy Pierre Couleau (CDN de Colmar/ Cie Des Lumières et des Ombres), où elle joue notamment le Rossignol et La Chauve souris… Elle nourrit une passion pour les musiques actuelles : le rock, le jazz, le blues, la pop et la chanson ; elle écrit, compose, chante et joue de la basse dans son propre groupe, La Chispa.
Elle travaille en équipe depuis plusieurs années avec Vincent Bouchot et Denis Chouillet; les fruits de ce compagnonnage joyeux sont : Méli-mélodrame(s), deux mélodrames contemporains : Spectacle de D. Chouillet sur des textes de F. Villard et J. Prévert et L’enfant de la haute mer de V. Bouchot, sur le texte éponyme de J. Supervielle. La bibliothèque du Professeur Van Mosselen, puis « Francis Poulenc, Mélodies et Correspondance et, Mirages, une rêverie aquatique », « Je m’appelle Erik Satie comme tout le monde » (réalisé grâce à Dominique Boutel, comme "le Petit Vian Illustré").
Par ailleurs, habitant le 18e arrondissement depuis plus de 20 ans, elle a à cœur de participer à la vie associative locale solidaire ( au sein par exemple de l’ Entraide Scolaire Amicale puis la Ligue des Droits de l’Homme…)
Denis Chouillet, compositeur et pianiste, est né en 1968.
La voix et le piano sont jusqu’à présent ses instruments privilégiés et la littérature ou la scène ses principales sources d'inspiration. Il est l’auteur d’un opéra de chambre et de musique vocale destinée à des comédiens ou des chanteurs ainsi que de pièces pianistiques et de musique de chambre.
Il a mis en musique Desnos, Queneau, Perec, Chantal Galiana ou Fabrice Villard, mais également des dépêches de l’AFP, des fragments de journal intime ou des syllogismes. Il forme un duo depuis 1995 avec la chanteuse et auteure-compositrice Elise Caron et fait partie depuis 2000 de l’ensemble Dedalus dirigé par Didier Aschour.
Citons parmi ses collaborations, épisodiques ou au long cours : le compositeur et baryton Vincent Bouchot et la chanteuse et metteuse en scène Nathalie Duong, l’auteur et metteur en scène Fausto Paravidino, les metteuses en scène Julie Brochen et Anne-Marie Gros, les danseurs et chorégraphes Erika Zueneli et Olivier Renouf, les réalisatrices de radio Marguerite Gateau et Juliette Heymann. Il a reçu des commandes de la Comédie-Française et de Radio- France ainsi que le prix Nouveau talent musique de la SACD. Parmi les compositeurs dont il a interprété et parfois créé les pièces : Luc Ferrari, Frédéric Lagnau, Tom Johnson, David Lang, Gérard Pesson. On a pu récemment l'entendre au Festival d'Automne à Paris et sur France Musique dans un portrait qui lui a été consacré par Anne Montaron et l'émission Alla Breve, ainsi que sur France Culture pour laquelle il a composé la musique du feuilleton Les Grandes espérances de Charles Dickens. Il est en tournée avec la Suite n°3 de Pierre-Yves Macé et Joris Lacoste.
La voix et le piano sont jusqu’à présent ses instruments privilégiés et la littérature ou la scène ses principales sources d'inspiration. Il est l’auteur d’un opéra de chambre et de musique vocale destinée à des comédiens ou des chanteurs ainsi que de pièces pianistiques et de musique de chambre.
Il a mis en musique Desnos, Queneau, Perec, Chantal Galiana ou Fabrice Villard, mais également des dépêches de l’AFP, des fragments de journal intime ou des syllogismes. Il forme un duo depuis 1995 avec la chanteuse et auteure-compositrice Elise Caron et fait partie depuis 2000 de l’ensemble Dedalus dirigé par Didier Aschour.
Citons parmi ses collaborations, épisodiques ou au long cours : le compositeur et baryton Vincent Bouchot et la chanteuse et metteuse en scène Nathalie Duong, l’auteur et metteur en scène Fausto Paravidino, les metteuses en scène Julie Brochen et Anne-Marie Gros, les danseurs et chorégraphes Erika Zueneli et Olivier Renouf, les réalisatrices de radio Marguerite Gateau et Juliette Heymann. Il a reçu des commandes de la Comédie-Française et de Radio- France ainsi que le prix Nouveau talent musique de la SACD. Parmi les compositeurs dont il a interprété et parfois créé les pièces : Luc Ferrari, Frédéric Lagnau, Tom Johnson, David Lang, Gérard Pesson. On a pu récemment l'entendre au Festival d'Automne à Paris et sur France Musique dans un portrait qui lui a été consacré par Anne Montaron et l'émission Alla Breve, ainsi que sur France Culture pour laquelle il a composé la musique du feuilleton Les Grandes espérances de Charles Dickens. Il est en tournée avec la Suite n°3 de Pierre-Yves Macé et Joris Lacoste.
Vincent Bouchot est né en 1966 à Toulouse. Études littéraires universitaires consacrées à Georges Perec et Jules Verne. Chanteur autodidacte, formé « sur le tas » au choeur de La Chapelle Royale (Philippe Herreweghe) à partir de 1987, il fréquente d’abord les principaux ensembles vocaux professionnels de l’époque (Les Jeunes Solistes [Rachid Safir], le Groupe Vocal de France [John Poole], Akadêmia [Françoise Lasserre]) puis rejoint l’Ensemble Clément Janequin [Dominique Visse] en 1993. Il ne l’a plus quitté depuis.
Aujourd’hui il collabore aussi avec des ensembles tels de que La Rêveuse, Les Traversées baroques, Doulce Mémoire… Vincent se passionne depuis toujours pour la musique contemporaine, créant en solo d’innombrables partitions, depuis Leçons d’Enfer d’Henri Pousseur en 1991 avec l’ensemble Musiques Nouvelles, jusqu’au Front de l’aube d’Édith Canat de Chizy en 2018, avec l’Orchestre National du Capitole de Toulouse, en passant par des oeuvres de Gérard Pesson (Forever Valley, Solitaire Mikado), Alexandros Markeas (Outsider), Aurélien Dumont (Chantier Woyzeck), Oscar Strasnoy (Hanokh), Philippe Leroux (Le Chant de la pierre) ou Bruno Ducol (Le Navire aux voiles mauves). Parmi les projets : le nouvel opéra d’Alexandros Markeas, Vallée de l’étonnement, à l’automne 21 avec tm+ et le nouvel opéra de Philippe Leroux, L’Annonce faite à Marie, avec l’ensemble Cairn, à l’automne 22. Compositeur tout aussi autodidacte, il a notamment écrit de très nombreuses mélodies et pièces instrumentales, souvent à la demande de collègues et camarades tels que Sandrine Piau (Galgenlieder, enregistrés chez Naïve), Françoise Masset, Donatienne Michel-Dansac, Eva Zaïcik, Marine Chagnon, François Leroux, Alexandre Tharaud, Lionel Peintre, Alain Buet … et une dizaine d’opéras dont un Ubu, créé à l’Opéra Comique en 2002 dans une mise en scène de Mireille Larroche, avec Françoise Pollet et Jean-Philippe Courtis en Père et Mère Ubu. Son dernier opéra, Argos et Grigoria, d’après Jean Tardieu, devait être créé à l’initiative de l’ensemble Aedes (Mathieu Romano) en juin 2020 au théâtre Impérial de Compiègne, et l’a été finalement à huis-clos (et filmé) en février 21.
Aujourd’hui il collabore aussi avec des ensembles tels de que La Rêveuse, Les Traversées baroques, Doulce Mémoire… Vincent se passionne depuis toujours pour la musique contemporaine, créant en solo d’innombrables partitions, depuis Leçons d’Enfer d’Henri Pousseur en 1991 avec l’ensemble Musiques Nouvelles, jusqu’au Front de l’aube d’Édith Canat de Chizy en 2018, avec l’Orchestre National du Capitole de Toulouse, en passant par des oeuvres de Gérard Pesson (Forever Valley, Solitaire Mikado), Alexandros Markeas (Outsider), Aurélien Dumont (Chantier Woyzeck), Oscar Strasnoy (Hanokh), Philippe Leroux (Le Chant de la pierre) ou Bruno Ducol (Le Navire aux voiles mauves). Parmi les projets : le nouvel opéra d’Alexandros Markeas, Vallée de l’étonnement, à l’automne 21 avec tm+ et le nouvel opéra de Philippe Leroux, L’Annonce faite à Marie, avec l’ensemble Cairn, à l’automne 22. Compositeur tout aussi autodidacte, il a notamment écrit de très nombreuses mélodies et pièces instrumentales, souvent à la demande de collègues et camarades tels que Sandrine Piau (Galgenlieder, enregistrés chez Naïve), Françoise Masset, Donatienne Michel-Dansac, Eva Zaïcik, Marine Chagnon, François Leroux, Alexandre Tharaud, Lionel Peintre, Alain Buet … et une dizaine d’opéras dont un Ubu, créé à l’Opéra Comique en 2002 dans une mise en scène de Mireille Larroche, avec Françoise Pollet et Jean-Philippe Courtis en Père et Mère Ubu. Son dernier opéra, Argos et Grigoria, d’après Jean Tardieu, devait être créé à l’initiative de l’ensemble Aedes (Mathieu Romano) en juin 2020 au théâtre Impérial de Compiègne, et l’a été finalement à huis-clos (et filmé) en février 21.
Charlie Parker, the bird of paradise
Podcast - 45 minutes
La naissance du Be Bop à Harlem transforme profondément la musique Jazz. Charlie Parker, dit "Bird", légende du Be Bop, a influencé tous les musiciens qui l'ont suivi.
Avec Arnault Cuisinier à la contrebasse, Benjamin Moussay au piano, Joe Quitzke à la batterie et Jean-Charles Richard au saxophone.
Autour des séances
Les titres joués
-
Confirmation
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Ornitology
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Mohawk
-
Donna lee
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lover man
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Moose the mooche
-
Night in Tunisia
Les musiciens
Arnault Cuisinier débute l'étude de la contrebasse en
1984.
Titulaire du Diplôme d'Etat (1991), il poursuit ses études au CNSM de Paris en contrebasse classique (classe de Frédéric Stochl, prix en 1994), puis dans la classe de jazz (classe de François Jeanneau, prix en 1996).
C’est notamment avec Dave Liebman et J.F. Jeann-Clarck qu'il étudie le jazz, l'improvisation avec Alain Savouret et la musique indienne avec Patrick Moutal.
Avec le groupe KASSALIT de Philippe Lemoine, il obtient le premier prix de groupe au concours de La Défense 1998. Le prix du meilleur soliste au tremplin de jazz d'Avignon lui est décerné en 1999.
Il a joué ou enregistré avec de nombreux artistes; Claudia Solal, Eric Barret, François Jeanneau, sylvain Kassap, Rick Margitza, Dave Liebman, Joel Harrison, Glenn Ferris , Joe Rosenberg, Mircea Tiberian, Manu Codjia, Denis Colin, Benjamin Moussay, Guillaume de Chassy, Jérôme Rateau, Yaron Herman…
Il joue , compose et enregistre aussi depuis plusieurs années dans le trio du pianiste Benjamin Moussay (avec Eric Echampard à la batterie) .Un premier disque , « Mobile », est sorti en 2002.Le deuxième disque « Swimming Pool », est paru en Mai 2006 et a reçu les éloges de la critique (ffff Télérama, CHOC Jazz Man….).Le 3è , "On Air", paru chez LaBorie records est sorti début 2011.
De formation éclectique, il joue (contrebasse et basse électrique) et chante aussi dans des groupes de Pop-rock comme ARIBO, avec Joe Quitzke, (2 disques chez Mozaïc records).
Avec Edward Perraud et Bruno Wilhelm, il a créé en 2003 le trio « MINERAL PARADOXE » .Un premier disque est paru en 2099 chez Quark records.
Il rejoint le quintet du violoniste Frédéric Norel avec lequel il a enregistré le CD "Dreamseekers" sur le label Melisse (sortie juin 2009).
Il joue depuis 2008 dans la Société des Arpenteurs de Denis COLIN avec qui il a enregistré le dernier disque" Subject to Change" à paru chez Nato en octobre 2009).
Au début de l'année 2008 qu'il crée son quartet FERVENT, composé de Guillaume de Chassy (piano), Jean-Charles Richard (Saxophones) et Fabrice Moreau (batterie).Un disque constitué de ses compositions personnelles vient d'être réalisé sur le Label La Borie jazz, sortie en avril 2010 ("choc" jazz magazine fev 2010).
C’est sous la label Bee Jazz qu’il enregistre «Silences» avec le trio de Guillaume de Chassy au piano, et Thomas Savy aux clarinettes.
Cette même année 2011, il rejoint le 4tet du batteur Edward Perraud Synaesthetic Trip avec lequel il enregistre le premier opus, CHOC Jazz Magazine mars 2012
Il joue et chante dans le nouveau projet «Territoires du souffle» du compositeur Thierry Machuel.
Il joue dans «le duplicateur», texte de Benoit Richter, musique, Thierry Machuel.
Titulaire du Diplôme d'Etat (1991), il poursuit ses études au CNSM de Paris en contrebasse classique (classe de Frédéric Stochl, prix en 1994), puis dans la classe de jazz (classe de François Jeanneau, prix en 1996).
C’est notamment avec Dave Liebman et J.F. Jeann-Clarck qu'il étudie le jazz, l'improvisation avec Alain Savouret et la musique indienne avec Patrick Moutal.
Avec le groupe KASSALIT de Philippe Lemoine, il obtient le premier prix de groupe au concours de La Défense 1998. Le prix du meilleur soliste au tremplin de jazz d'Avignon lui est décerné en 1999.
Il a joué ou enregistré avec de nombreux artistes; Claudia Solal, Eric Barret, François Jeanneau, sylvain Kassap, Rick Margitza, Dave Liebman, Joel Harrison, Glenn Ferris , Joe Rosenberg, Mircea Tiberian, Manu Codjia, Denis Colin, Benjamin Moussay, Guillaume de Chassy, Jérôme Rateau, Yaron Herman…
Il joue , compose et enregistre aussi depuis plusieurs années dans le trio du pianiste Benjamin Moussay (avec Eric Echampard à la batterie) .Un premier disque , « Mobile », est sorti en 2002.Le deuxième disque « Swimming Pool », est paru en Mai 2006 et a reçu les éloges de la critique (ffff Télérama, CHOC Jazz Man….).Le 3è , "On Air", paru chez LaBorie records est sorti début 2011.
De formation éclectique, il joue (contrebasse et basse électrique) et chante aussi dans des groupes de Pop-rock comme ARIBO, avec Joe Quitzke, (2 disques chez Mozaïc records).
Avec Edward Perraud et Bruno Wilhelm, il a créé en 2003 le trio « MINERAL PARADOXE » .Un premier disque est paru en 2099 chez Quark records.
Il rejoint le quintet du violoniste Frédéric Norel avec lequel il a enregistré le CD "Dreamseekers" sur le label Melisse (sortie juin 2009).
Il joue depuis 2008 dans la Société des Arpenteurs de Denis COLIN avec qui il a enregistré le dernier disque" Subject to Change" à paru chez Nato en octobre 2009).
Au début de l'année 2008 qu'il crée son quartet FERVENT, composé de Guillaume de Chassy (piano), Jean-Charles Richard (Saxophones) et Fabrice Moreau (batterie).Un disque constitué de ses compositions personnelles vient d'être réalisé sur le Label La Borie jazz, sortie en avril 2010 ("choc" jazz magazine fev 2010).
C’est sous la label Bee Jazz qu’il enregistre «Silences» avec le trio de Guillaume de Chassy au piano, et Thomas Savy aux clarinettes.
Cette même année 2011, il rejoint le 4tet du batteur Edward Perraud Synaesthetic Trip avec lequel il enregistre le premier opus, CHOC Jazz Magazine mars 2012
Il joue et chante dans le nouveau projet «Territoires du souffle» du compositeur Thierry Machuel.
Il joue dans «le duplicateur», texte de Benoit Richter, musique, Thierry Machuel.
Musicien voyageur ouvert à toutes les cultures, Joe Quitzke développe un jeu unique en force et en finesse nourri de ses multiples voyages et collaborations autour du monde.
Après une enfance andalouse, il retourne dans on pays natal, la Suède, puis vit en Australie avant de s'installer à Paris en 1992 et d'entrer en 1996 au département Jazz du Conservatoire National Supérieur de Paris, dont il sortira en 2000 avec un 1er Prix à l'Unanimité. S
on jeu intuitif et contrasté fait de lui un musicien d'exception, continuellement à l'écoute des autres. Membre du Trio de Matthieu Donarier depuis 1999, partenaire de François Jeanneau depuis 2000, de Gabor Gado depuis 2001, de Claudia Solal et son quartet "Spoonbox" depuis 2005 et de Christophe Monniot (Ozone Trio) depuis 2006, les résidences, enregistrements et concerts l'ont menés, au-delà de la France, à jouer en Espagne, Allemagne, Italie, Belgique, Hongrie, Suisse, Albanie, mais aussi au Kazakhstan, Kirghistan, Congo, Nigéria, Mali, Sénégal, Bénin, Ghana, Canada, Maroc,…
Après une enfance andalouse, il retourne dans on pays natal, la Suède, puis vit en Australie avant de s'installer à Paris en 1992 et d'entrer en 1996 au département Jazz du Conservatoire National Supérieur de Paris, dont il sortira en 2000 avec un 1er Prix à l'Unanimité. S
on jeu intuitif et contrasté fait de lui un musicien d'exception, continuellement à l'écoute des autres. Membre du Trio de Matthieu Donarier depuis 1999, partenaire de François Jeanneau depuis 2000, de Gabor Gado depuis 2001, de Claudia Solal et son quartet "Spoonbox" depuis 2005 et de Christophe Monniot (Ozone Trio) depuis 2006, les résidences, enregistrements et concerts l'ont menés, au-delà de la France, à jouer en Espagne, Allemagne, Italie, Belgique, Hongrie, Suisse, Albanie, mais aussi au Kazakhstan, Kirghistan, Congo, Nigéria, Mali, Sénégal, Bénin, Ghana, Canada, Maroc,…
Musicien aventurier, Jean-Charles Richard a suivi un double cursus au CNSM de Paris, où il obtient à l’unanimité un premier prix de saxophone classique et un diplôme de formation supérieure en jazz. Titulaire des CA de saxophone classique et jazz et d’un DEM d’analyse, il est le responsable de la classe du cycle spécialisé jazz et musiques improvisées au CRR de Paris, et du Pôle Supérieur Paris – Boulogne-Billancourt.
Par goût des extrêmes, il choisit de se consacrer aux saxophones soprano et baryton. Sa curiosité pour tous les territoires de la musique l’amène à se produire aussi bien au sein d’orchestres classiques (Orchestre de Paris, Orchestre des Prix du CNSM), des big bands (George Russell, Antoine Hervé, Jean-Loup Longnon), dans des fanfares de rue (La Bête a bon dos), des chanteurs de variété, et à côtoyer les compositeurs contemporains (Karlheinz Stockhausen, Thierry Escaich, Alain Margoni).
De 1995 à 2000, il tourne dans le monde entier avec un groupe phare de l’humour musical, les DéSAXés, dans une mise en scène de l’humoriste François Rollin. Concerts mémorables notamment à l’Olympia, au Printemps de Bourges ou au Paléo Festival de Nyon. De 2001 à 2005, il participe, avec la Compagnie du jongleur Jérôme Thomas, à la création de Cirque Lili, spectacle représenté plus de deux cents fois en France et en Europe.
Conjointement, il met ses qualités d’interprète, de compositeur et d’improvisateur au service de nombreuses collaborations avec Dave Liebman, Didier Levallet, David Patrois, Bernard Struber, Jean-François Baëz, Claudia Solal, Eric Löhrer, Didier Ithursarry, Daniel Humair…
Son premier album, en solo, Faces, paru en 2006 chez Herrade / Fairplay-Anticraft a créé l’événement (ffff Télérama, Choc du mois Jazzman). Son second album Traces, enregistré en compagnie de Peter Herbert et de Wolfgang Reisinger a reçu le Grand Prix Jazz de l’Académie Charles Cros. Avec la violoncelliste Pauline Bartissol, Jean Charles Richard propose aujourd’hui une relecture des suites pour violoncelle de Jean Sébastien Bach, projet qu’il mène de front avec un quintet qu’il co-dirige avec Eric Prost : « L’équilibre de Nash »
Depuis 2006, il dirige de nombreux orchestres, dont les répertoires se situent à la croisée du jazz et de la musique classique : Sketches of Spain de Gil Evans, avec David Liebman en invité soliste, Cityscape de Claus Ogerman, Impressions de Jean Marie Machado, ou encore le Newdecaband de Martial Solal avec l’Orchestre de l’Opéra de Lyon.
Par goût des extrêmes, il choisit de se consacrer aux saxophones soprano et baryton. Sa curiosité pour tous les territoires de la musique l’amène à se produire aussi bien au sein d’orchestres classiques (Orchestre de Paris, Orchestre des Prix du CNSM), des big bands (George Russell, Antoine Hervé, Jean-Loup Longnon), dans des fanfares de rue (La Bête a bon dos), des chanteurs de variété, et à côtoyer les compositeurs contemporains (Karlheinz Stockhausen, Thierry Escaich, Alain Margoni).
De 1995 à 2000, il tourne dans le monde entier avec un groupe phare de l’humour musical, les DéSAXés, dans une mise en scène de l’humoriste François Rollin. Concerts mémorables notamment à l’Olympia, au Printemps de Bourges ou au Paléo Festival de Nyon. De 2001 à 2005, il participe, avec la Compagnie du jongleur Jérôme Thomas, à la création de Cirque Lili, spectacle représenté plus de deux cents fois en France et en Europe.
Conjointement, il met ses qualités d’interprète, de compositeur et d’improvisateur au service de nombreuses collaborations avec Dave Liebman, Didier Levallet, David Patrois, Bernard Struber, Jean-François Baëz, Claudia Solal, Eric Löhrer, Didier Ithursarry, Daniel Humair…
Son premier album, en solo, Faces, paru en 2006 chez Herrade / Fairplay-Anticraft a créé l’événement (ffff Télérama, Choc du mois Jazzman). Son second album Traces, enregistré en compagnie de Peter Herbert et de Wolfgang Reisinger a reçu le Grand Prix Jazz de l’Académie Charles Cros. Avec la violoncelliste Pauline Bartissol, Jean Charles Richard propose aujourd’hui une relecture des suites pour violoncelle de Jean Sébastien Bach, projet qu’il mène de front avec un quintet qu’il co-dirige avec Eric Prost : « L’équilibre de Nash »
Depuis 2006, il dirige de nombreux orchestres, dont les répertoires se situent à la croisée du jazz et de la musique classique : Sketches of Spain de Gil Evans, avec David Liebman en invité soliste, Cityscape de Claus Ogerman, Impressions de Jean Marie Machado, ou encore le Newdecaband de Martial Solal avec l’Orchestre de l’Opéra de Lyon.
A 37 ans, Benjamin Moussay est un pianiste et compositeur de Jazz singulier. Après avoir écouté sans relâche la tradition du Jazz (Monk, Tristano, Ellington, Hancock), mais aussi beaucoup de musique classique (Beethoven, Debussy, Bach, Chopin), de musique contemporaine (Ligeti, Messian, Reich), de musiques rock et pop (Radiohead, Bowie, Velvet Underground), ou de musiques électroniques (Aphex Twin, Fennesz), il s'est forgé une personnalité unique sur la scène du Jazz actuel.
Il a commencé par étudier le piano classique (avec Jean Fassina et Jean-Louis Haguenauer) avant de se tourner vers le Jazz, la composition et l'arrangement au Conservatoire de Paris (avec François Jeanneau, Hervé Sellin, François Thébèrge et Jean-François Jenny-Clarke). En 98, il sort lauréat du Concours International de piano Jazz Martial Solal et l'année suivante il obtient le deuxième prix de soliste au Concours National de Jazz de la Défense.
"Musicien que l'on s'arrache" et sideman éclectique, Benjamin Moussay vient de sortir Room Service avec Claudia Solal, Beyond Mountains avec Alain Vankenhove, Dreamseekers avec Frédéric Norel,Ode to the Doodooda avec Laurent Robin, Face the music avec Marc Buronfosse et il est membre du nouveau projet en trio de Louis Sclavis avec Gilles Coronado.
Pédagogue confirmé, il enseigne le piano Jazz et la Musique Assistée par Ordinateur dans les Conservatoires du 13e et 18e arrondissements ainsi qu'au CRR de Paris et anime, entre autres, le stage de Jazz du Festival de Marciac.
Il travaille actuellement sur plusieurs réalisations: un disque en piano solo, un projet de musique électronique,et bien sûr un nouvel album en trio.
Il a commencé par étudier le piano classique (avec Jean Fassina et Jean-Louis Haguenauer) avant de se tourner vers le Jazz, la composition et l'arrangement au Conservatoire de Paris (avec François Jeanneau, Hervé Sellin, François Thébèrge et Jean-François Jenny-Clarke). En 98, il sort lauréat du Concours International de piano Jazz Martial Solal et l'année suivante il obtient le deuxième prix de soliste au Concours National de Jazz de la Défense.
"Musicien que l'on s'arrache" et sideman éclectique, Benjamin Moussay vient de sortir Room Service avec Claudia Solal, Beyond Mountains avec Alain Vankenhove, Dreamseekers avec Frédéric Norel,Ode to the Doodooda avec Laurent Robin, Face the music avec Marc Buronfosse et il est membre du nouveau projet en trio de Louis Sclavis avec Gilles Coronado.
Pédagogue confirmé, il enseigne le piano Jazz et la Musique Assistée par Ordinateur dans les Conservatoires du 13e et 18e arrondissements ainsi qu'au CRR de Paris et anime, entre autres, le stage de Jazz du Festival de Marciac.
Il travaille actuellement sur plusieurs réalisations: un disque en piano solo, un projet de musique électronique,et bien sûr un nouvel album en trio.